Waouh, ça fait bizarre.
Nos échanges sont romancés – c’est à la fois flatteur et… euh, comment dire ?
Voyez par vous-même…
Je cite :
Et puis vint le moment où je rencontrais Gaël.
– Je suis Gaël L., dit-il.
J’avais en face de moi un ange gracile. Fin, les yeux ouverts sur le monde comme après une trop longue exposition à l’ombre. Écarquillés et fragiles.
Je pensais, en moi : « Gaël, aile » Et je m’apprêtais à le voir s’envoler audessus des toits de Londres, où nous nous étions retrouvés.(extrait de Les Continents Féminins, Alain Héril, ed. Jean-Claude Gawsevitch)
Tout à fait moi, non ?
En tous cas, c’est marrant de se retrouver transformé en personnage de roman 😉
Merci Alain !