Ce week-end j’étais un peu en vacances (en fait, à bien y penser, je crois tout simplement que j’étais… en week-end – mais je n’ai plus vraiment l’habitude).
Du coup, je n’ai rien de très artistique à raconter ici (à part le spectacle que je suis allé voir cet après-midi, mais je ferai un vrai post dessus plus tard, là je n’ai pas le courage).
Mais comme j’étais sur mon blog, et que je suis de bonne humeur, j’ai décidé de vous proposer un petit concours de culture générale.
Allez, le premier qui trouve de quel livre est issu cette citation sans la taper dans google (eh oh, faut pas me la faire) gagne un tirage photo de n’importe quelle image présentée sur ce site, tiens.
Mais sérieux, jouez le jeu, tentez votre chance sans google (vous avez le droit de chercher après avoir répondu, si vous êtes trop impatient pour attendre les résultats…)
Comment et à quelle occasion ai-je commencé à me masturber, je ne m’en souviens pas. Je pensais que ce n’était pas bien, puisque je le faisais en cachette et plus volontiers à l’école, où je me croyais plus en sûreté.
Mais la maîtresse s’en aperçut et prévint ma mère. Un jour, les joues en feu, je me trémoussais en classe et subitement je l’ai vue me regarder sévèrement à travers la vitre de la porte. Elle m’expliqua ensuite que c’était vilain pour une petite fille et que je ne devais plus recommencer.
Mais c’était devenu une habitude et je n’étais guère accoutumée à obéir. Quand l’assaut du désir m’assaillait, seule quelque présence étrangère avait le pouvoir de m’arrêter, sinon je m’avouais impuissante devant l’avidité du plaisir.
Allez, c’est parti, j’attends vos réponses en commentaires !